mardi 2 janvier 2018

2017 : Bilan (très) nuancé

En résumé :


Janvier : mon petit frère se fait renverser par une voiture.
Plusieurs jours à l’hôpital, et plusieurs mois pour s’en remettre, ainsi qu’une cicatrice qu’il gardera au visage.
Cette année à Nouvel An, il a complètement pété les plombs : furieux que nous ayons jeté des confettis dans sa chambre à minuit (!), il nous a violemment enfermés dans une pièce pour aller ruiner la chambre de ma mère. J’ai cru vivre Shining. J’ai très mal vécu la chose, et c’est officiel, désormais mon petit frère de 12 ans me terrorise.

Janvier à Juillet : J’ai rencontré Hector. Une relation, qui m’a probablement apportée quelque chose… Mais surtout des conflits à n’en plus finir : 7 mois d’engueulades, de crises de colères de sa part, et d’un nombre colossal de fois où j’ai moi aussi cédé à la colère alors que je déteste ça.
Le truc drôle, c’est qu’il me réécrit depuis 3 jours : Il a vu un film avec une actrice qui lui a fait penser à moi, et il me raconte un peu sa vie.
Ce mec est tout de même hallucinant.

Janvier à (???) : J’ai (tenté de) ravaler mon histoire avec le-mec-de-la-salle-de-sport, j’ai subi la douleur et l’humiliation de me retrouver face à sa nouvelle meuf sans avoir été mise au courant que notre histoire était fini. 1 mois de malaise à la salle, où j’ai toutefois tenu bon, envers et contre tout (et surtout contre un troupeau de gonzesses à la maturité de collégiennes qui chuchotaient dans mon dos).
Je suis toutefois satisfaite d’avoir tenu, d’avoir choisi de ne pas fuir la salle, et d’arriver à vivre avec ça… Même si j’habite désormais à 100 mètres de sa maison familiale, et que je ne pourrais pas m’empêcher de guetter sa voiture.
Pour la petite histoire, j’ai (enfin) supprimé son numéro de mon téléphone. Je l’ai fait le jour où Charles-Henri m’a quitté. 
Juste au cas où.

Avril : La mortde mon père adoptif, et l’impression de perdre une partie de mon enfance, une partie de moi… Et le sentiment abrupt d’être devenu adulte, alors que je n’étais pas prête à ça. Aujourd’hui, je suis la seule garante de nos souvenirs communs. Et je ne pourrais dire à personne d’autre qu’à lui « Tu te souviens de ce moment ? ». Sans parler du regret de ne pas avoir eu le temps de lui raconter mon voyage en Afrique.
Je n’ai jamais réussi à finir le récit de l’enterrement. II est en brouillon depuis des mois, je dois en être à 7 pages, et impossible de m’en sortir. Je crois que je suis incapable de terminer cet article.

Mai : le pire mois de l’année, un des pire mois de ma vie je pense, avec l’enterrement de mon père adoptif, des semaines de boulot de malade, des insomnies, Hector qui pétait des piles, le ratage absolu de mes 30 ans, et une fatigue physique qui en venait à altérer mes réflexions.

Janvier à juin : La danse Africaine. C’était amusant et émouvant (car ça me rappelait l’Afrique), mais ça n’a pas été aussi transcendant que danser sur les toits de Mbour, au Sénégal, où j’ai vraiment vécut une renaissance.
De plus, c’était plutôt agréable de me faire courtiser par le prof (qui, ironiquement, faisait apparemment fantasmer toutes ses élèves… sauf moi). D’ailleurs je n’avais pas fait d’article, mais il y avait eu un petit flirt au repas de fin d’année : lorsque je suis partie, un peu pompette, nous nous étions pris dans nos bras, seuls dans la cuisine, et il m’avait serré très fort contre lui, en m’embrassant dans le cou. Ce qui était terriblement sexy.
Pour la petite histoire drôle, je rentrais ensuite chez moi, où Hector me rejoignait. Et il m’avait sorti « Tu as mis du temps à rentrer. J’aurais mieux fait d’aller au bar me chercher une greluche pour rentrer chez moi la sauter, ça aurait été plus rapide ».
Je lui avais répondu que c’était un sale con (il l’avait mal pris). J’avais envisagé de le blesser en lui disant que je flirtais avec mon prof de danse, mais je me suis dit que je valais mieux que ça.

Janvier à Novembre : L’Association, des moments vraiment très cools, des animations géniales, l’impression de faire des choses « importantes », de servir à quelque chose, découvrir des gens funs, et m’amuser.
Aout à Décembre : Cette Asso m’a apportée Charles-Henri, un peu sur un malentendu. Je ne sais pas trop quoi en dire pour l’instant, si ce n’est que c’est la pire claque de ma vie : même ma rupture avec mon ex au bout de 4 ans de vie commune, je le vivais mieux – c’était « facile » on avait été au bout de ce qu’on pouvait vivre ensemble, et c’était évident qu’il n’y avait plus rien à sauver. Là, ça a été brutal et violent, et je n’ai rien vu venir. Je n’aurais jamais cru me retrouver anéantie à ce point à cause d’une « simple » relation – et encore moins une relation de 4 mois.
Je ne me le pardonne pas – et c’est peut-être toute l’origine de mes crises d’angoisse.

Juin : Un nouveau tatoo, un peu par hasard, mais qui marquait la fin d’une période de merde, et un symbole, d’une certaine façon : mes trente ans, la vie qui m’échappe, les problèmes de santé qui arrivent à l’improviste, le grain de folie et la spontanéité qu’il faut garder envers et contre tout.

Juillet : Des retrouvailles familiales dans l’Ouest de la France, j’ai retrouvé ma marraine, mon tonton, vu mon petit neveu pour la première fois, je me suis sentie bien au milieu d’eux. J’ai revu ma cousine, rencontré son mari, éprouvé un sentiment d’appartenance et de tranquillité à leurs contacts, et ça m’a fait un bien fou. Je sortais enfin la tête de l’eau, je revivais. J’allais enfin mieux, vraiment mieux, grâce à eux, mais surtout à moi-toute-seule-parce-que-je-suis-bien-entourée. Je me sentais belle, bien, acceptée, indépendante, forte ; une véritable épiphanie.

Aout : La maison, mon futur foyer que je trouvais aux détours d’une visite sans trop y croire et qui regroupait quasi tout ce que je cherchais (sauf peut-être l’aspect « isolée au fond des bois avec des barbelés électrifiés pour repousser les intrus… mais à 10 min à pieds du boulot »).
Et Charles-Henri, qui semblait être la cerise sur le gâteau, le cadeau de la vie, le début de vrais projets. Je pensais voir des signes, je pensais que cette envie de prendre mon temps avec lui voulait dire beaucoup.

Aout à Décembre : La Maison devient un gloubiboulga de problèmes et de démarches, les banques deviennent mes ennemis numéros 1, et je commence à fatiguer. Tout semblait vivable tant qu’au moins, Charles-Henri et moi, ça collait (parce que quoiqu’il arrive, c’est quand même les relations humaines qui importent plus que tout le reste). Mais si j’ai vécu des mois extraordinaires, la descente fut brutale en décembre.
Il ne me reste plus que moi, une maison inhabitable, et des emmerdes, et de la tristesse qui déborde de partout.

Bilan : J’ai tellement pleuré cette année, qu’une ONG devrait m’envoyer dans le désert, avec juste un plaid et mes souvenirs : je te coule une Oasis avec mes larmes à l’aise en un week-end chrono.

Au 1er janvier, je faisais 47kg. Encore 2kg de moins en une semaine, ce qui monte ma perte de poids à 5kg en 2 semaines.
Soit exactement (ou un peu moins ?) le poids que je faisais il y a 1 an. Echec total : je me retrouve exactement au même point qu’il y a 1 an.
Mes muscles ont fondus. Je ne peux pas supporter de voir mon reflet dans un miroir.
Je me sens comme un bateau qui prend l’eau : malgré mes efforts, malgré la nourriture que je me force à ingurgiter, je perds du poids à une vitesse alarmante. Que doit-on faire dans ces cas-là ? Que se passera-t-il si je continue encore à maigrir ?!

Au boulot, j’ai eu de nouvelles et belles opportunités. On m’a fait confiance, on m’a offert de nouvelles responsabilités. Mon chef essaie par tous les moyens de me faire monter les échelons malgré mes échecs répétés au concours. C’est hyper valorisant !
… Mais chute libre en décembre (évidement), où j’ai été rappelé à l’ordre au vu de mon « comportement » : retards, absences, façon de s’isoler des autres, attitude farouche, renfermée…
Cette remontrance était justifiée, et je l’ai vécu comme un coup de poignard, moi qui met un point d’honneur à être irréprochable au taf. Je n’ai pas cherché à me défendre – certes, je vais mal, mais le travail n’est pas le lieu où on apporte sa vie privée.
Je devrais vraiment me faire arrêter (mais je ne le ferai pas)

L’année dernière, dans mon précédent bilan, je disais « Il y a quelques semaines, j’étais incapable de voir le positif de l’année écoulée, et je m’enfonçais dans des états d’âmes sans fonds […] Quelque chose s’est remis en place dans ma tête, et au lieu de lutter pour trouver le positif, il s’est imposé à moi. […] J’ai réalisé le soutien dont je faisais preuve – alors que je me sentais abandonnée, simplement parce que je m’étais isolée toute seule ».
Echec : J’en suis au même point là encore, mais en pire, car je n’arrive pas à focaliser sur le positif.
Quant à mes souhaits pour 2017, ils n’ont pas non plus été spécialement remplis.


Le blog a aujourd’hui un peu plus d’un an, et comme l’année dernière, je dois bien avouer que j’aime cet endroit, et qu’il m’est d’une grande aide. J’écris plus vite que mon ombre, et je serais curieuse de connaitre le nombre de signes laissés en un an (vu que je ne sais pas écrire d’article de moins de 3 pages), alors que j’approche de la centaine d’articles publiés (!)
Je remercie les personnes qui m’ont laissés des petits mots gentils cette année, celles qui m’ont soutenues quand ça n’allait pas, ça fait toujours chaud au cœur et croyez moi, ça m’a toujours fait du bien.
Je vous aime.

Je dois avouer que j’ai été bien entourés, même si je n’arrive pas, pour l’instant, à m’appuyer là-dessus pour aller mieux, à me « contenter » de mes amis qui sont putain de formidables et qui me le prouvent quotidiennement depuis plusieurs semaines :
Copine#1, qui est là, fidèle au poste, tous les jours, même la nuit s’il le faut. Qui était là à 8h le lendemain de la rupture avec le petit dèj, qui m’a laissé pleurer dans ses fringues, qui a les mots qu’il faut, les silences quand il le faut, et avec qui on a une relation d’égale à égale,  de compréhension et de tolérance mutuelle. D’ailleurs elle a décrété que nous étions ni plus ni moins que des âmes sœurs.
Morgueil, qui est là depuis si longtemps, amitié de… douze ans bordel ?! Alors qu’on a dû se voir « en vrai » en tout et pour tout une semaine (en cumulant). Dans ses yeux je semble parfaite ou presque, il m’excuse mes défauts, il lisse mes craintes, il est compréhensif face à mes manques, il voit… Je ne sais pas exactement qui il voit, mais c’est grave moi en mieux, genre Mademoiselle B. 5.0 (au moins). Mon seul lecteur « de la vraie vie », la seule personne à qui je peux accorder cette confiance les yeux fermés – et aussi parce que sinon, il ne me le pardonnerait pas. Je t’aime mon ami. Puisse 2018 nous faire nous revoir une nouvelle fois !
Copine#2 et Copine#3, qui, l’une de m’envoyer régulièrement des messages malgré ses semaines de 70h, et l’autre de se soucier de moi malgré son ventre tout rond qui accapare (et c’est bien normal) toutes ses pensées. Encore une année où l’on a passé des supers moments toutes les 4, même si c’est moins souvent (et ça le sera encore moins dès que Jean-Hyppolyte sera né !), et je trouve ça extraordinaire d’avoir une amitié aussi belle, aussi bienveillante et aussi dénuée de jugement. Je crois que je me disais qu’une fois qu’on quittait l’école, on ne retrouvait plus d’amis, ou que ce n’était plus pareil, plus aussi fort, ni foufou : que ça devenait une amitié d’adultes, chiante et sérieuse. Ravie de voir que non, au contraire !
Mister Perfect, qui malgré ses défauts, et son putain de mauvais caractère parfois (bah, on se ressemble), est quand même devenu un sacré pilier. Je l’ai appelé un sacré nombre de fois cette année pour avoir des conseils, ou être soutenue. Dire qu’il part dans 4 mois au Canada, pour une durée indéterminée.
Ma (minuscule) famille proche : mon Papy, qui m’aide dans les travaux, me conseille, et me console maladroitement, comme le gros ours au grand cœur qu’il est. Et puis mention spécial à ses expressions, lui qui m’a sorti, le 1er janvier, en essayant d’ouvrir la porte de son atelier dans le noir : « C’est quand même plus facile à trouver quand il y a des poils autours ! ».
Ma mamie un peu chtarbe mais adorable (et surtout, à mon avis, malheureuse), qui s’inquiète, et me refile tous les cachets de calmants ou de somnifères qu’elle arrive à trouver, qu’importe que ce soit pour humains ou animaux, que ce soit conseillé ou pas, et qu’importe la date de péremption.
Et surtout ma mère. Je voulais lui écrire une lettre d’amour pour noël, mais j’ai estimé que la portée de « Si je suis fière d’être la personne que je suis aujourd’hui, une personne humaine, sensible et pleine de valeurs, c’est grâce à toi » serait un peu flappi au vu des circonstances. J’espère pouvoir lui transmettre ça dans l’année, si quand ça ira mieux.

A ceux qui ont été là ponctuellement, mais qui comptent dans ma vie : mon ami Q. qui est à peu près aussi malchanceux que moi. Président qui, malgré son petit grain de folie (un grain petit comme une noix de coco), est quand même ultra présent depuis quelques semaines et je lui en suis reconnaissante (même si je suis trop pudique pour lui avouer), et son mec, force tranquille et gentillesse incarnée. Est-ce le début d’une plus grande amitié ?
Ma cousine et son mari, qui m’ont envoyés des tas de messages trop supers et trop gentils (on est carrément dans les grandes déclarations d’amour), et qui de toute façon m’ont fait un bien fou quand on s’est vu cet été. Pour la petite histoire, ma cousine veut se mettre à faire des tatoos (je la soupçonne de ne plus avoir assez de place pour en faire sur elle, donc de commencer à en faire sur les autres) et devenir prof de yoga (ce qui me fait mourir de rire vu son look ultra goth – mais j’adhère à 200%) et prévoit de me tatouer une « Petite limace démoniaque et en voyant ça, le mauvais sort se dira « Ouais nan, elle c’est trop une badass, je lui fous la paix ! » » ; Inutile de dire que j’adore l’idée.
Et puis mes collègues, ceux qui ont été là, qui m’ont apporté des chamallow ou des sucreries, ceux qui m’ont laissés pleurer dans leurs fringues (Cela dit, j’ai pleuré dans les fringues d’à peu près tous ceux que je connais) (Amis humanitaires : ma production d’eau est à vous ! Sauvons le monde ensemble !), ceux qui m’ont juste posé une main sur le bras, caressé le dos, ou tenu la main en silence. Ceux qui m’ont envoyés des messages, qui m’ont rassurés, ceux qui m’ont consolés. Ou juste ceux qui sont tristes de me voir triste, parce que je compte assez à leurs yeux pour ça.

A ceux qui se sont éloignés, mais que j’aime et dont l’absence me blesse : Mon amie d’enfance, ma meilleure amie Violaine, avec qui j’ai échangée genre 3 mails cette année (alors qu’on en était à plus d’une centaine auparavant), et qui n’est pas du tout présente en ce moment pour moi, malgré mes messages d’au secours. Elle vit à donf sa vie de couple, et j’avoue qu’elle me manque beaucoup.
Mon ami Mathieu, mon ancien colloc, mon ancien confident, celui qui connait quasi tous mes secrets et mes casseroles, celui qui était là pendant ma dépression en 2009, celui qui m’aidait à nettoyer mon plus grand tatouage (en 2009 aussi : ce tatoo qui a marqué la fin de ma dépression, la fin de mes pulsions de scarification (entre autres sévices infligés à moi-même)), dont j’ai raté l’anniversaire, et qui s’est éloigné de moi, mais aussi de tout notre groupe d’amis avec qui on faisait des soirées de folie (et du coup on ne fait plus de soirées non plus).

Monsieur Sophrologie, que j’ai revu le 31 décembre parce qu’il voulait absolument me reprendre en séance. J’y suis resté 2h (!), et il ne m’a pas fait payer. Ce type est juste ahurissant de gentillesse. Ça m’a fait du bien, et j’ai appris quelques exercices pour (tenter de) gérer les angoisses et les pensées négatives.
Et puis sa candeur positive et hilare : « C’est très bien que tout ça te soit arrivé maintenant, regarde, c’est une nouvelle année, tu peux fermer la porte  et en ouvrir une nouvelle ! C’est pile la bonne période ! C’est une chance ! Imagine si ça avait été en avril ! ».

C’est d’ailleurs suite à cette séance, et sur sa suggestion que je formule mes vœux/résolutions 2018 :

- Je me souhaite de retrouver ma force, mon énergie, ma forme… et mes formes.
- Je fais le vœu de retrouver mon appétit et mon amour de la cuisine. Que manger ne soit plus synonyme d’être seulement capable de grignoter deux cuillères de ce qui a pu être mes plats préférés et ensuite être malade.
- Je me souhaite de tout mon cœur de recommencer à faire des projets (et en éprouver de la joie, plutôt que de la fatigue)
- Je fais le vœu de m’affranchir de mes blessures, et d’être capable de faire confiance à nouveau, et de ne pas « faire payer » à d’autres mes expériences passées. Je voudrais rester entière et généreuse. Je ne veux pas devenir une personne aigrie et malheureuse, qui rejette les autres de toutes ses forces.
- Je me souhaite de trouver du réconfort et de l’épanouissement avec ce que la vie m’a offert – plutôt que de pleurer sur ce que je n’ai pas.
- J’aimerai être bienveillante envers moi-même, accepter celle que je suis, mes faiblesses, ma sensibilité à fleur de peau. J’aimerai l’être autant avec moi-même qu’avec les autres, être compréhensive et patiente. Je suis sûre que si je nous acceptais mieux, moi et mes faiblesses, je ferais moins de crises d’angoisse.

Malgré mon absences d’énergie ces temps-ci, il y a tout de même des projets 2018 sur les rails depuis un moment – et qui sont, je dois l’avouer, une petite bulle d’oxygène :
- Ma nouvelle voiture, que j’irai chercher à Paris, ce qui me donnera l’occasion d’aller me balader dans une ville que j’aime beaucoup, manger dans des restos végétariens, et peut-être rencontrer Young Matka (au moins on est sûre que ce sera un premier rencard réussie !)
- Mon voyage aux Etats-Unis, en Avril. En espérant que, d’ici là, je serais capable de l’apprécier.
- Peut-être une conférence professionnelle que j’animerais en congrès pro… Ce qui, si ça arrive, se passerait dans la ville de ma cousine. A.k.a des vacances tout frais payé ou presque !
- Pourquoi pas un nouveau tatoo ? (Lorsqu’il sera temps de marquer un renouveau dans ma vie).

Un dernier vœu :
Je voulais que mon premier article de l’année (après le bilan) soit un article super positif et plein d’amour de moi-même. Mais il faut avouer que la portée d’un article « Je suis la femme de ma vie » est plutôt minable vu mon état actuel.


Alors je vais juste faire le vœu (et faire l’effort) que mes articles, s’ils ne sont pas hyper joyeux, soient au moins bienveillants ou plein  d’espoirs !

Bonne Année à tous !

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